Nous y sommes! Ce 300ème kaléidoscope inaugure une nouvelle année. Je vous avais fait part dans les précédents de mes doutes et de mes interrogations sur l’intérêt de la poursuite de ces envois « hebdromadaires » ( merci Prévert pour ce joli mot-valise!) : « Ne nous prive pas de cette ouverture sur le monde – Je ne suis pas toujours d’accord mais tes kaléidoscopes ne me laissent jamais indifférente- On sera triste si tu arrêtes… ». Je vous remercie pour ces messages d’encouragement qui m’incitent à poursuivre l’envoi de ces modestes chroniques.
Je n’avais pas prévu de commencer l’année par l’évocation de créateurs disparus mais les débuts d’années sont décidément meurtriers: en janvier 2023 Russell Banks nous quittait ( voir K216 ) et la camarde vient d’emporter deux créateurs dont l’œuvre a été reconnue dans les années 90 et était depuis quelques années, un peu tombée dans un injuste oubli. David Lodge, mort le premier janvier, portait dans ses romans très drôles un regard acerbe sur la société et en particulier sur le monde universitaire qu’il connaissait très bien pour y avoir enseigné pendant plus de trente ans la littérature anglaise.
Tous les livres de David Lodge sont disponibles dans la collection Rivages Poche.
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