C’est avec beaucoup d’émotion que je me souviens du spectacle qui m’a permis de découvrir une nouvelle manière de faire du théâtre: c’était en 1971, la troupe du Théâtre du Soleil avait installé son chapiteau à Villeurbanne dans le vieux quartier du Tonkin sur la place Rivière, à l’époque épicentre des Puces dominicales.
1789, avec en sous-titre, une citation de Saint-Just claquant comme un étendard: « La révolution doit s’arrêter à la perfection du bonheur ». En entrant dans le chapiteau on voit les comédiens en train de se maquiller et de revêtir leurs costumes. Cinq aires de jeu surélevées, reliées par des passerelles, délimitent un parterre central où nous sommes debout, invités à nous déplacer vers l’un ou l’autre des plateaux de bois.
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